CARTOUN SARDINES THÉÂTRE

Du théâtre mais pas que…      

Patrick Ponce

Patrick Ponce 

est comédien et metteur en scène.

Patrick Ponce est né le 4 décembre 1957 à Marseille

Il est co-fondateur en 1979 avec Philippe Car de la compagnie Cartoun Sardines Théâtre. À ce titre, il participe activement aux créations de la compagnie en tant que metteur en scène et artiste interprète. Depuis 2006, il signe les adaptations et les mises en scène des productions Cartoun Sardines Théâtre. Il est acteur dans 23 d’entre elles dont certaines en tournées internationales. 

Patrick Ponce est aussi le concepteur d’une forme de théâtre avec film muet et spectacle vivant, et en 2004 Faust est le spectacle fondateur de cette nouvelle expérimentation. 

Depuis 1979, au sein de la compagnie, il a produit et fabriqué plus d’une trentaine de spectacles. Si les projets sont diversifiés, du théâtre classique aux textes modernes, en passant par le cinéma, ils ont pour point commun l’adaptation de la pièce ou du film d’origine à un univers émotionnel, burlesque, contemporain, décalé. La direction d’acteurs est au centre du travail. Elle déteint, stimule et imprègne fortement l’écriture des spectacles, en dévoilant le cadre et le hors-cadre. 

Parallèlement à son activité d’écriture et de création d’œuvres théâtrales, Patrick Ponce développe très activement des projets pédagogiques à l’échelle du département et de la région, et anime diverses formes de rencontres avec le public en accompagnement des spectacles en tournée.

 Depuis l’année de fondation de Cartoun Sardines Théâtre, la conception du groupe de théâtre dont il est l’animateur principal lui a permis d’aider à la formation de jeunes acteurs et techniciens et de favoriser l’ouverture au théâtre des jeunes générations. Il œuvre tous azimuts pour tisser ce lien indéfectible entre la scène et le public. Dernièrement, l’apparition du « Grand Oral » au bac lui a permis de perfectionner les élèves de terminales à cet exercice…  

Patrick Ponce

Patrick Ponce

C’est une démonstration particulière…

 » Une porte dont on ne voit que le cadre, une porte sans fond, dont il est convenu qu’une fois fermée, on ne voit rien de ce qui se passe de l’autre côté, puis la porte est traversée de part en part pour prouver son absence, après avoir simulé son fonctionnement.

C’est ce qu’y est montré sur scène, au sens propre comme au figuré.
Cette liberté permet de faire surgir le discours et le sens du spectacle.
Mais attention, une porte peut en cacher une autre, dont il semblerait que nous ayons perdu la clé, à moins qu’elle ait été confiée au spectateur, en toute discrétion.

Faux-semblants du cadre et/ou réalités du hors-cadre, tout fait sens, tout fait théâtre. »